Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Bienvenue chez les Doudoux
2 octobre 2008

Ça caquète au dessus de nos têtes :: Graznido por encima de nuestro nido

Une véritable provocation!!! Mais que peuvent–elles bien crier ainsi?

Nous avertir? « Alerte, alerte, aux abris, l'hiver arrive! » « Dépêchez-vous, fermez tout et tirez-vous!»

Se donner du courage? « Allez devant, allez les petits, on garde le rang » « Lâchez pas les filles, lâchez pas, on garde le rythme! » « Une deux, une deux, plus que 6 456 kms, une deux, une deux, plus que 6 454 kms » « Un kilomètre à ailes, ca use, ca use... »

Se donner des consignes? « Drive carefully, in 500 meters, turn 10 degres East» « Allez devant, allez les petits, on reste en rang »

Nous narguer? « On a bien bu, bien mangé, bien rigolé, mais vu qu'il n'y a plus rien, on se casse! » « Nananère, nous on part...» « Rendez-vous au Mexique! « Youpi, c'est ça la vraie vie!»

Nous faire peur? « Après nous, le déluge »!

Un peu de tout ça à lire l'information disponible sur elles! Toujours est-il que chaque année, jamais exactement à la même date, les bernaches du Canada passent au-dessus de chez nous dans un grand tintamarre. On ne peut sortir dehors sans les entendre. Toujours en forme de V, plus ou moins large, plus ou moins long, tous pointés vers le Sud. Dans 10 jours, leurs cris se feront plus rares et le dernier vol passera presque inaperçu, car déjà nous serons à l'intérieur.

Mais pourquoi, pourquoi ne faisons-nous pas comme ces oiseaux migrateurs, dites pourquoi rester ici à attendre le froid?

Réponse au printemps prochain.

PS. Si vous voulez les entendre, cliquez sur la bande sonore sur cette page. (je sais toujours pas comment ajouter du son sur ce bliog......)

q

¡Una verdadera provocación! ¿Pero, qué pueden gritar?

¿Advertirnos? “¡Alerta, alerta, a los refugios, llega el invierno!” “¡Apresúrense, cierren todo y rájense!”

¿Darse coraje?  “¡Vamos, vamos chicos, mantengámonos en fila”. “No aflojen chicos, no aflojen, mantengamos el ritmo!”. “Uno dos, uno dos, solo faltan 6 456 Km.; uno dos, uno dos, solo faltan 6 454 Km.” “Un kilómetro volando, eso gasta, eso gasta...”

¿Imponerse reglas? “Conduzcan con cuidado, en 500 metros, giren 10 grados al Este” “Vamos, vamos chicos, mantengámonos en fila”.

¿Provocarnos con insolencia? “Bebimos bien, comimos bien, nos divertimos, pero vio, como no hay nada más que hacer, ¡nos rajamos!” “Nanananana, nosotros nos vamos.”  “¡Nos vemos en México!” “¡Chamaco, eso si que es la buena vida!  “¡Ándale, ándale, ándale… Arriba, arriba, arriba…!”

¿Darnos miedo?  “¡Sálvese quien pueda!”

Un poco de todo esto según la información que se consigue sobre ellos (en inglés). Lo cierto es que cada año, jamás en la misma fecha, los barnaclas canadienses pasan por encima de nuestra casa en un gran estruendo.  No podemos salir fuera sin oírlos.  Siempre en forma de V, más o menos ancha, más o menos larga, todos apuntando hacia el sur.  Dentro de 10 días, sus gritos se harán más raros y el último vuelo pasará casi inadvertido, porque nosotros ya estaremos en el interior.

¿Pero por qué, por qué no hacemos como estas aves migratorias, dígannos por qué quedarse aquí, a la espera del frío?

La respuesta; la próxima primavera.

Si quieren escucharlos, vayan a esta página (¡todavía no se como añadir sonido a esta bitácora!)

Publicité
Commentaires
Bienvenue chez les Doudoux
Publicité
Newsletter
Publicité